Cette section rassemble des séquences de cartes tirées dans un ordre préétabli, en lien avec les douze signes du calendrier chinois. Chaque bloc comprend trois cartes accompagnées d'une interprétation neutre et descriptive.
Les cartes associées au Rat en 2025 montrent une disposition marquée par l’observation. Une carte liée au cycle, une autre à la distance, et une troisième à la mémoire visuelle structurent la lecture.
Pour le Bœuf, les cartes de 2025 évoquent des éléments liés à la surface, à la stabilité et aux objets récurrents. Les symboles se répètent par moments, sans proposer de direction.
Le Tigre présente une disposition marquée par l’alternance. Les cartes sont disposées en triangle symbolique, avec des interruptions visuelles. Le rythme proposé ne suit pas une logique fixe.
Les cartes du Lapin en 2025 forment un ensemble fluide. Une lecture diagonale est possible, sans point fixe. L’ordre n’est pas central dans cette lecture, qui reste libre de tout axe interprétatif. Les symboles incluent des éléments légers, courbes ou transparents.
La séquence du Dragon est centrée sur la verticalité. Les cartes apparaissent en colonne, évoquant une élévation sans but défini. Chaque image reste neutre dans son traitement, sans récit. Les formes présentes dans la série sont angulaires et répétées.
🐍 Serpent
Le Serpent présente une série discontinue. Les cartes s’opposent en contraste visuel : l’une foncée, l’autre claire, la troisième vide. Il n’y a pas de lien narratif. Les segments sont isolés pour une lecture par fragments. Aucun enchaînement ne domine l’ensemble.
Le Cheval se lit par dynamique latérale. Les cartes sont décalées et asymétriques. Des figures allongées, inclinées ou mouvantes se succèdent. Le temps n’est pas linéaire dans cette présentation.
La disposition des cartes de la Chèvre forme une boucle. Des formes arrondies reviennent dans chaque segment. La suite s’observe en rotation symbolique. Les couleurs restent douces, les contrastes faibles.
Le Singe présente un agencement irrégulier. Les cartes varient en style et en symbole, sans progression définie. Certains motifs apparaissent, disparaissent, puis réapparaissent. La série permet une lecture non chronologique.
Le Coq suit une ligne en zigzag. Chaque carte semble en lien indirect avec la précédente. Les éléments tranchés sont présents dans la lecture. L’œil suit des ruptures, non une suite logique. Aucune synthèse n’est faite.
La série du Chien contient des cartes calmes, sans saturation visuelle. Les bords sont flous, les centres nets. Une lecture horizontale est suggérée mais non obligatoire.
Le Cochon se présente en trois zones : début, espace vide, reprise. Les cartes jouent sur l’absence. Les motifs sont minimaux. L’absence de structure devient elle-même un repère. La lecture reste descriptive et sans sous-texte.
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